CINQ BONNES RAISONS DE COURIR VOIR JAKOB LENZ

Au festival
vendredi5juillet 2019

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Après avoir triomphé sur les scènes de Berlin, Bruxelles et Stuttgart, le spectacle choc d’Andrea Breth arrive en France pour trois représentations exceptionnelles. Cinq bonnes raisons pour se précipiter au Grand Théâtre de Provence les 5, 8 et 12 juillet à 20h.

1— Georg Nigl, bête de scène
Spécialiste du répertoire contemporain, le baryton autrichien Georg Nigl repousse les limites de l’interprétation. Sous les traits d’un Jakob Lenz plus vrai que nature, il réalise  une performance vocale et scénique à couper le souffle. Une prouesse aussi hallucinée qu’hallucinante.

2—  Première française d’Andrea Breth
Andrea Breth est l’une des figures incontournables du théâtre germanique. Son approche radicale et psychologique des textes et sa direction d’acteurs ont fait d’elle une artiste très recherchée et récompensée. En plus de quanrtante ans de carrière, Jakob Lenz est son premier spectacle présenté en France : un événement à ne pas manquer.

3— Un spectacle triplement récompensé
Acclamé par le public et la critique lors de sa création à l’Opéra de Stuttgart, ce spectacle a été désigné « Meilleure production de l’année 2015 » par le magazine allemand Opernwelt. Il a également permis à Georg Nigl d’être consacré «  Chanteur de l’année » et à Andrea Breth de recevoir le  Prix Faust, l’une des plus hautes distinctions théâtrales outre-Rhin.

4— Un classique de la musique contemporaine
Quarante ans après sa création en 1979, Jakob Lenz est devenu un « classique » de la musique contemporaine. À l’époque de sa composition, Wolfgang Rihm n’a alors que 26 ans, mais l’accueil réservé à son opéra – comparé au Wozzeck d’Alban Berg –  laisse présager la suite de sa carrière. À 67 ans, Wolfgang Rihm est aujourd’hui un compositeur émérite, auteur d’une œuvre monumentale.

5— L’histoire vraie d’un poète maudit
Jakob Lenz est l’histoire vraie et fascinante d’un poète rongé par la schizophrénie, qui a renoncé à l’art pour se perdre dans des délires mystiques. Son histoire, écrite par Georg Büchner au XIXe siècle puis mise en musique par Wolfgang Rihm, dépasse l’homme et son œuvre : par son parcours chaotique, sa folie et sa fin tragique, Lenz incarne l’idée même du héros maudit préromantique.

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