FESTIVAL 2023 : LA PRESSE EN PARLE !
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L'OPÉRA DE QUAT'SOUS DE BERTOLT BRECHT, KURT WEILL ET ELISABETH HAUPTMANN
— LE FIGARO
Les comédiens-Français ouvrent la 75e édition du Festival d'Aix avec une interprétation unique de la pièce de Brecht et Weill. À la tête de l'ensemble Le Balcon, Maxime Pascal décape le rythme et le ton
— LE MONDE
Dans la fosse, Maxime Pascal, à la tête de son ensemble, Le Balcon, a tenu le pari du "multi-instrumentalisme". On a adoré, parmi les cuivres et les claviers, les accents de basse électrique, de balalaïka et de guitare hawaïenne.
— LA CROIX
Le spectacle témoigne d’une grande cohérence esthétique, d’une parfaite fluidité entre les différents tableaux, d’un engagement ardent des artistes.
— LES ÉCHOS
Le Balcon et son chef Maxime Pascal se révèlent [...] idéaux de dynamisme, de lisibilité polyphonique et de plénitude chromatique.
— DIAPASON
[...] des Comédiens Français, flamboyants (comme les costumes que leur a taillés Florence von Gerkan, dans une veine chic triviale), galvanisés par les pouvoirs secrets du metteur en scène qui fait d’eux un aréopage interlope parmi lequel les grandes gueules matent les petites frappes sans ménagement
— CONCERT CLASSIC
Une troupe qui donne toute sa dimension sociale et politique à cette pièce y insufflant passion et dynamisme sans fard et sans retenue.
— LA MARSEILLAISE
Le plaisir de la musique de bastringue, les rengaines géniales de Kurt Weill procurent un indéniable plaisir, servies par un orchestre impeccable et une troupe géniale.
— LA PROVENCE
Il faut [...] souligner l'intérêt de la nouvelle traduction musclée d'Alexandre Pateau, triviale et cash, et l'accompagnement musical puissant de Maxime Pascal à la tête de son orchestre Le Balcon.
PICTURE A DAY LIKE THIS DE GEORGE BENJAMIN ET MARTIN CRIMP
— FINANCIAL TIMES
Five stars for “Picture a day like this”, George Benjamin’s beguiling, unsettling new opera
— THE TELEGRAPH
An exquisitely crafted fable of loss and hapiness
— LE TEMPS
Picture a day like this, de George Benjamin et Martin Crimp, s’impose comme le chef-d’œuvre de la saison aixoise.
— LE FIGARO
[George Benjamin] retrouve ici un geste qui lui est naturel, entre concision et raffinement. Son écriture est plus ciselée que jamais, et il tire du Mahler Chamber Orchestra, en petite formation, un luxe de sonorités taillées dans le diamant, pures ou mêlées.
— LA CROIX
Le nouvel opus lyrique du compositeur britannique George Benjamin brille comme un joyau, rare et familier, léger et poignant. La mezzo-soprano Marianne Crebassa y est bouleversante.
— LES ÉCHOS
À la subtilité du texte de Martin Crimp s'ajoutent la délicatesse de la mise en scène de Daniel Jeanneteau et Marie-Christine Soma et la magie des créations vidéo d'Hicham Berrada.
— TÉLÉRAMA
Martin Crimp et George Benjamin signent avec leur nouvelle création un riche conte initiatique, où texte et musique palpitent à l'unisson.
— DIAPASON
Daniel Janneteau et Marie-Christine Soma signent un spectacle en symbiose idéale avec livret et musique, et dont la sensibilité rehausse les performances d’acteurs, toutes sidérantes par leur vérité malgré l’économie de mouvements que revendique la mise en scène.
— OLYRIX
La mezzo-soprano française est d’une incroyable justesse émotionnelle.
— LA MARSEILLAISE
Benjamin délivre là une œuvre d’une rare puissance émotionnelle
COSÌ FAN TUTTE DE WOLFGANG AMADEUS MOZART
— FRANKFURTER ALLGEMEINE
Einmalig grandios
— LE TEMPS
[…] le Balthasar Neumann Orchestra sous la direction de Thomas Hengelbrock offre une sonorité mozartienne moelleuse. Le diapason abaissé à 430 (l’orchestre joue ainsi plus bas qu’à la normale) apporte à la partition une volupté orchestrale qui révèle toutes les subtilités des plans sonores.
— LE MONDE
En convoquant un aréopage de chanteurs ayant tous passé la cinquantaine, le metteur en scène russe offre au chef-d’œuvre de Mozart et de Da Ponte une nouvelle dimension. Dans la fosse, la baguette de Thomas Hengelbrock joue sur du velours.
Comme toujours, la direction d’acteurs du Russe est d’une maestria magnifique.
— LIBÉRATION
Le russe Dmitri Tcherniakov parvient à adapter l'œuvre invraisemblable de Mozart dans un réalisme franc [...]
— LE SOIR
Plutôt que des jeunes gens, les amoureux du Così [de Tcherniakov] sont deux couples d’âge moyen […]. Un choix audacieux […] musicalement toujours porté par un orchestre vif, dirigé par l’attentif Thomas Hengelbrock.
— OLYRIX
Così fan tutte au Festival d'Aix-en-Provence : du noyau au joyau lyrique
Côté distribution, le casting est remarqué, de métier, de maîtrise technique, d’engagement et surtout d’homogénéité. L’individu-chanteur s’efface pour mieux souligner l’écriture mozartienne, dans l'essence et le sel de ses ensembles. La délicatesse s’impose collectivement, à l’abri de la quête de décibels, en osmose intelligente avec la fosse et dans le soin apporté aux récitatifs, vibrants de la même densité expressive que les airs.
— RESMUSICA
Pièce maîtresse de cette production, la distribution vocale homogène et aguerrie à ce répertoire, argue d’une impressionnante maîtrise technique et vocale nullement entamée par la patine de l’âge, tant dans les airs solistes que dans les nombreux ensembles.
— LA MARSEILLAISE
L’idée est si brillante qu’on se demande pourquoi elle n’a pas été mise en scène plus tôt.
WOZZECK D'ALBAN BERG
— FINANCIAL TIMES
Simon McBurney stages a brilliant, shattering Wozzeck at Aix Festival
— LE TEMPS
L’artiste britannique Simon McBurney révèle la noirceur de l’opéra d’Alban Berg dans une mise en scène époustouflante. Un temps fort du Festival
— EL PAÍS
La perfección en ópera sí existe, aunque raras veces se disfrute, y así acaba de demostrarlo el gran director británico con una puesta en escena virtualmente perfecta de la desasosegante obra maestra de Alban Ber
— DIE SÜDDEUTSCHE ZEITUNG
George Benjamins grandiose Oper "Picture a day like this" und Simon McBurneys artistischer "Wozzeck": Die Opernfestspiele in Aix-en-Provence zeigen Wundervolles.
— LE MONDE
Simon McBurney offre au chef-d'œuvre de Berg une magistrale entrée au répertoire, magnifiée par une luxueuse distribution vocale et le chef d'orchestre Simon Rattle à la tête d'un London Symphony Orchestra, époustouflant.
— LE FIGARO
Dirigé par Simon Rattle et mis en scène par Simon McBurney, l'œuvre d'Alban Berg se décline au plus que parfait.
— LES ÉCHOS
Simon Rattle dirige la complexe musique d'Alban Berg avec le raffinement qu'elle requiert mais aussi avec la générosité expressive d'une symphonie de Mahler. L'Orchestre symphonique de Londres ne se montre jamais avare de nuances et de couleurs et participe activement à l'écriture de ce « poème à la fois intemporel et d'actualité » comme le définit McBurney.
— L’HUMANITÉ
Ce Wozzeck est un moment majeur de l'histoire de l'opéra, et pas seulement d'Aix-en-Provence.
— TÉLÉRAMA
Au Festival d'Aix-en-Provence, un “Wozzeck” triplement enchanteur
De bonnes fées se sont penchées sur le chef-d'œuvre d'Alban Berg, monté pour la première fois à Aix : la prestation du baryton Christian Gerhaher, bien entouré, la direction musicale de Simon Rattle et la mise en scène de Simon McBurney font de cette production une réussite totale
— OLYRIX
La nouvelle mise en scène in loco de Simon McBurney est à nouveau puissante : sobre et picturale, réaliste et symbolique. [...] La direction de Sir Simon Rattle, à la tête du London Symphony Orchestra, aborde la partition avec une précision de grand horloger.
— RESMUSICA
Véritable défi que Simon McBurney relève avec un brio confondant, en parfait accord avec le livret, aidé en cela, par la puissance expressive de la musique.
BALLETS RUSSES - MUSIQUES D'IGOR STRAVINSKI
— LE MONDE
Virtuosité, brio, cohésion : resteront en mémoire cet Oiseau de feu souple, vif et luxuriant, ce Petrouchka diabolique de précision, habillé de rire et de chagrin, et bien sûr un Sacre du printemps totalement libre, emplissant l'espace d'une force impérieuse, venue du fond des âges, d'une soif plus essentielle que l'eau, sous la direction vitale d'un Klaus Mäkelä tout simplement magnétique.
— LA CROIX
Associant musique et cinéma, le Festival propose une mise en abyme visuelle des partitions fulgurantes écrites par le compositeur russe entre 1910 et 1913. Un pari à découvrir […].
— LES ÉCHOS
[…] le concert de l'Orchestre de Paris restera dans les mémoires. La rutilance, la verve, le sens des contrastes, la souplesse du trait ont animé et fait briller de mille couleurs "L'Oiseau de feu". La précision impérieuse du rythme, le panache, l'humour ont donné des ailes à "Petrouchka". Une force tellurique, le mystère du fond des âges, la menace de la catastrophe se disputaient la conduite d'un "Sacre du printemps" inquiétant et hurleur.
À la tête de cet ensemble des grands soirs, Klaus Mäkelä prouve qu'il est l'homme de la situation, l'ambassadeur zélé de Stravinsky, le maître de ballet.
— LA PROVENCE
Est-ce parce que composées pour des ballets, avec une effusion de rythmes, les pièces de Stravinski se prêtent particulièrement à l’image ? Toujours est-il que la conversation est une réussite, les fracas et les craquements du compositeur qui fouettent au sang enveloppent les trois films, tout comme les cisaillements des cordes parfaitement emmenés par le chef d’orchestre finlandais Klaus Mäkelä expriment les tensions. On en ressort conquis, réjoui de voir combien la création d’hier peut inspirer celle d’aujourd’hui.
— LA MARSEILLAISE
Klaus Mäkelä qui, du haut de ses 27 ans, avec son petit air d’enfant sage, a mis le feu à l’Orchestre de Paris et par contagion, au public [...]. Trois moments d’une intensité, d’une force et d’une inspiration peu communes.
THE FAGGOTS AND THEIR FRIENDS BETWEEN REVOLUTIONS DE PHILIP VENABLES ET TED HUFFMAN
— THE TIMES
What a delight and surprise […] to emerge after 100 minutes feeling exhilarated and entertained
— THE GUARDIAN
Taken as a whole, the show is at times both baffling and chaotic – but served up with such raw energy and panache, it’s also irresistibly, unforgettably compelling
— THE NEW YORK TIMES
[…] an astonishing feat of controlled chaos in which an ensemble of 15 does it all: sings, narrates, dances, plays instruments
— LE TEMPS
Du fond des âges à l’horizon du futur, le combat des minorités s’exprime dans une danse aussi délurée que dramatique. Le texte est cru et le sujet, sans fard, d’une actualité brûlante.
— LA PROVENCE
De cette œuvre haute en couleur, drôlement irrévérencieuse, pleine d'une joyeuse folie, Ted Huffman tire un franc succès synonyme d'espoir sur scène et en dehors.
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